. des Républicains. Un risque de burn-out à la Croix-Rouge ? Un rapport de l’Inspection du travail relève 3800 infractions à la législation sur le temps de travail commis en 2014 au siège parisien de l’association. La Croix-Rouge se défend et assure que cette situation est due à la priorité de sa mission : "sauver des vies". Les 480 salariés des bureaux de la Croix-Rouge installés dans le 14e arrondissement de Paris feraient trop d’heures supplémentaires et seraient ainsi privés "du repos quotidien minimal" de onze heures entre deux périodes travaillées. Sur les 3800 infractions relevées, plus de 3000 concerneraient des journées de travail supérieures à dix heures. Il arriverait aussi que la durée hebdomadaire maximale de 48 heures travaillées soit dépassée, selon Le Parisien qui s’est procuré le rapport de l’Inspection. polos lacoste pas cher
La CFE-CGC, le syndicat majoritaire, affirme avoir interpellé la direction il y a déjà seize mois et évoque des "demandes récurrentes de dernière minute". "C’est clair qu’il y a un sentiment de fatigue. Le médecin du travail en est parfaitement conscient vu le nombre de consultations qu’il effectue à la demande des salariés", raconte le délégué syndical Eric Laurent, interrogé par M6. Au Parisien, il déclare : "Les gens sont épuisés. Certains commencent à 7 heures et terminent à 20 heures." L’amende de ces nombreuses infractions pourrait s’élever à 2,8 millions d’euros. Mais en incluant la rémunération des heures supplémentaires et l’indemnisation du préjudice subi par les salariés, la facture pourrait être bien plus salée et atteindre 11 millions d’euros pour la Croix-Rouge. polos lacoste homme pas cher Dans un communiqué publié dimanche, l'association se défend : "Cette situation est liée à l’identité même de la Croix-Rouge et à sa mission: sauver des vies ! Que cela soit en matière d'urgence et de secourisme, de réponses aux catastrophes en France comme à l'international, nos missions demandent une grande mobilisation et disponibilité de nos salariés et bénévoles, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit, le jour de la semaine. Malheureusement, l’urgence ne prévient pas." Samedi soir à Woippy, en banlieue nord de Metz, un homme a abattu une jeune femme de 22 ans et gravement blessé deux autres personnes, dont le frère de la victime. Le mobile du tireur n'est pas encore clair. Il pourrait s'agir d'une simple altercation "sur fond d'alcoolisation". "Pour le moment on s'oriente vers une altercation sur fond d'alcoolisation", a déclaré dimanche Christian Mercuri, le procureur de Metz, confirmant ainsi le témoignage d’un riverain recueilli par RTL : "Au début quand le gars est venu, ?a parlait de bière. Ils sont allés un peu plus loin et c'est là d'où il a tiré des coups de feu. polos lacoste femme pas cher
" Une jeune femme de 22 ans est décédée après avoir été touchée par plusieurs balles. Trois hommes ont également été blessés, dont deux grièvement. Touché d'une balle dans la tête et de deux dans le dos, le frère a?né de la jeune femme tuée est entre la vie et la mort dimanche. "Un autre jeune homme d'une vingtaine d'années a été pris en charge par les urgences du centre hospitalier régional de Mercy. Il aurait été touché par quatre balles dans l'abdomen", rapporte Le Républicain lorrain. Un suspect, ivre au moment des faits, a été interpellé dans la nuit. Cet homme de 49 ans, connu des services de police, a déjà écopé d’une peine de 5 ans de prison "pour des faits d'agression sexuelle, de violences et de violences avec arme", selon le procureur de Metz.
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